Quand on tient la chandelle, ça donne ça...

Lorsque nous sommes lancées avec Cecile dans cette aventure, les raisons de notre collaboration pour ce blog étaient multiples. On s'est rendues compte que nous aimions tous les deux la photo, qu'imaginer et créer des cadeaux personnalisés était notre dada et que tout simplement cette collaboration allait nous permettre de s'amuser ensemble avec nos imaginaires et nos mimines. Même après (toutes) ces années, si j'ose dire, l'esprit Imaginerie est toujours là et cette création en est à mon sens une des facettes. 

Je vous la montre en photo (ne soyez pas impatients). Mais avant tout, avez-vous déjà "tenu la chandelle?". Pour ma part, ça m'est arrivé au lycée, surtout, car j'avais et j'ai toujours d'ailleurs des copines avec qui l'on voulait sortir (Isa si tu me lis !). Moi, dans tout ça? Ben j'étais souvent la bonne copine qui "tenait la chandelle" jusqu'à ce qu'un jour, un beau prince charmant me remarque et m'embarque sur son scoot et avec lui, NTM, et ses potes !

Frustrée avant cette rencontre de tenir la chandelle? Non, pas du tout, plutôt amusée de jouer les entremetteuses, les chaperons et celle qui tenait la chandelle.

Alors, comment cette idée de chandeliers des temps modernes est venue à moi? Je vais être honnête, je travaille actuellement sur des luminaires personnalisés dans le cadre du développement de l'Imaginerie, la Boutique et en recherchant des fournisseurs de pieds de lampes et bien je suis tombée sur ça.

C'est rigolo, car j'ai moi-même une lampe fatboy à la maison mais simple et sans image. Rhhh... du coup, je me suis dit, encore une fois, pourquoi n'y avais-je pas pensé avant? Trop tard du coup, pour la proposer versus commercial, mais pas du tout pour décorer mon intérieur et réaliser un petit article pour le blog !

Alors, voici une version contemporaine du chandelier qui, certes, ne nous permettra pas d'arpenter les couloirs de Versailles la nuit, faute de kilomètres de fil, mais qui je l'espère vous fera sourire par son côté décalé et trompe-œil.

Audrey, le 18/05/17